Titre de psychothérapeute

TITRE DE PSYCHOTHERAPEUTE

Vous pourrez suivre sur cette page les débats autour du titre de psychothérapeute.

 

Dans le Journal Officiel de ce samedi 22 mai 2010 a été publié le décret régissant désormais l'usage du titre de psychothérapeute.

Journal officiel de la République française - N° 117 du 22 mai 2010

ici le Décret n°2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute

 

 

UN NOUVEL AMENDEMENT A LA LOI ENCADRANT L'USAGE ET LE TITRE DE PSYCHOTHERAPEUTE (Posté le 13 mars 2009)

APRÈS L'ARTICLE 22, insérer l'article suivant :

Les troisième et quatrième alinéas de l'article 52 de la loi n° 2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique sont remplacés par quatre alinéas ainsi rédigés :
« Un décret en Conseil d'État précise les modalités d'application du présent article et les conditions de formation théorique et pratique en psychopathologie clinique que doivent remplir
l’ensemble des professionnels souhaitant s’inscrire au registre national des psychothérapeutes. Il définit les conditions dans lesquelles les ministères chargés de la santé et de l’enseignement supérieur agréent les établissements autorisés à délivrer cette formation.
« L’accès à cette formation est réservé aux titulaires d'un diplôme de niveau doctorat donnant le droit d’exercer la médecine en France ou d’un diplôme de niveau master dont la spécialité ou la mention est la psychologie ou la psychanalyse.
« Le décret en Conseil d’État définit les conditions dans lesquelles les titulaires d'un diplôme de docteur en médecine, les personnes autorisées à faire usage du titre de psychologue dans les conditions définies par l'article 44 de la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 portant diverses dispositions d'ordre social et les psychanalystes régulièrement enregistrés dans les annuaires de leurs associations peuvent bénéficier d’une dispense totale ou partielle pour la formation en psychopathologie clinique.
« Le décret en Conseil d’État précise également les dispositions transitoires dont pourront bénéficier les professionnels justifiant d’au moins cinq ans de pratique de la psychothérapie à la date de publication du décret. ».

EXPOSÉ SOMMAIRE

Compte tenu de la sensibilité des troubles qu’ils cherchent à améliorer, qui touchent à l’intimité psychique et relationnelle de l’individu souvent en situation de grande vulnérabilité, les psychothérapeutes doivent disposer d’un haut niveau de connaissance et de compétence pour prendre en charge de façon adaptée les personnes qui ont recours à eux.
C’est pourquoi il est apparu indispensable que toutes les personnes qui utilisent le titre de psychothérapeute aient suivi au cours de leur cursus, une formation théorique et clinique de psychopathologie clinique. Les concepts et approches qui seront développées dans cette formation exigent, pour leur bonne compréhension, un niveau élevé universitaire de type Master 2 de psychologie ou de psychanalyse ou Doctorat de médecine.
Les professionnels qui, dans leur cursus de formation initiale, auront déjà suivi tout ou partie des modules développés dans cette formation pourront bien sûr bénéficier de dispenses totales ou partielles.
Une formation n’est de qualité que lorsque l’établissement dans lequel elle est délivrée est, lui-même, de qualité, c’est pourquoi il est nécessaire d’agréer ces établissements.
Il est en outre nécessaire de prévoir des dispositions permettant de tenir compte de la situation particulière des professionnels déjà installés depuis plusieurs années.

 

 

LOI ENCADRANT L'USAGE ET LE TITRE DE PSYCHOTHERAPEUTE

Un communiqué du Syndicat National des Psychologues (posté le 13 mars 2009)

L'Assemblée Nationale vient d'adopter, sur proposition du gouvernement et avec le soutien de députés PS, Radicaux et UMP, un amendement modifiant l'article 52 de la loi n° 2004-806 du 9 août 2004, instaurant et encadrant l'usage du titre de psychothérapeute.
Le Syndicat national des psychologues, premier syndicat des psychologues en France, voit ici aboutir une des exigences portées par la profession, celle d’un Master en Psychologie ou Doctorat de médecine comme préalables à la formation en psychopathologie clinique requise pour faire usage du titre de psychothérapeute.
Si cet amendement est confirmé par le Sénat puis mis en application par décret, il constituera une mesure de protection pour les usagers.
Le SNP rappelle toutefois que cette mesure ne peut en aucun cas être suivie de l’instauration d’un nouveau métier dans le champ de la santé. Il attend donc que les engagements pris dans ce sens par madame la Ministre de la santé et par son cabinet soient respectés.
En effet, qu’ils soient salariés du privé, agents de l'État ou en exercice libéral, ce sont les psychologues qui, avec un haut niveau de formation initiale et continue, effectuent depuis des décennies la majorité des prises en charge psychothérapeutiques, et ce, à la grande satisfaction des équipes soignantes et des usagers.
Des questions concernant la définition des contours de l’exercice professionnel des reconnaissance psychologues, ainsi que la et la valorisation de leur activité sont à discuter avec les Pouvoirs publics.
Le SNP demande à participer à tous les groupes de travail qui vont être ouverts sur ces questions, ainsi que sur le projet de réforme de la psychiatrie et de la santé mentale, en rappelant qu’il s’est prononcé démocratiquement en 2006 en faveur de la création d’un ordre professionnel encadrant l’activité des psychologues tous secteurs d’intervention réunis.

www.psychologues.org

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

JANVIER 2009 - NOUVEAU RAPPORT SUR L'ORGANISATION DE LA SANTE MENTALE

Un Nouveau Rapport présenté à la ministre de la santé sur l'organisation de la santé mentale et de la psychiatrie

Un nouveau rapport a été présenté à Madame

Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la santé,

intitulé:

Missions et organisation de la santé mentale et de la psychiatrie

Cliquez ici pour le télécharger

 


 

 

TRIBUNE DE BERNARD ACCOYER:

Informer, Garantir, protéger, n’est pas tuer les Psys, au contraire ! Voir

 


 

Psychologues et Psychiatres "vent debout

contre un projet de décret" (voir)

 


 

Le décret sur le statut du psychothérapeute suit son chemin

 

Francois-r. Dupond Muzart continue aussi à contribuer à nous informer et à nous faire profiter de ses réflexions (voir).
Ainsi qu'une réaction d'un "psychothérapeute relationnel" qui ...
... semble ne pas avoir des relations très chaleureuses avec "Psychothérapie Vigilance" (qu'il connaîtrait mal ?) ...

 


 

A LA RECHERCHE DU PROGRAMME COMMUN

Valérie, Pécresse plaide pour une recherche médicale mieux coordonnée dans Les Echos (voir)


 

PREVENIR LA VIOLENCE DES LA PETITE ENFANCE

(Odile Jacob, 2008) par R.E. Tremblay.
Note de lecture:
L'expertise INSERM (2005) sur les troubles des conduites a fait couler beaucoup d'encre, inspirée par de bonnes intentions et une méconnaissance des travaux scientifiques sur le dépistage précoce des sujets à risque. Un des membres de la commission INSERM sur les troubles de conduites, qui avait été présidée par Jeanne Etiemble, tout comme celle sur le effets des psychothérapies de 2004, revient sur le sujet dans un livre:
RE Tremblay : Prévenir la violence dès la petite enfance, Odile Jacob, 2008.
Ecrit par un chercheur mondialement connu et Professeur de pédopsychiatrie à Montréal, ce livre montre que les comportements de violence sont le fait de tous les enfants avant trois ans. Cependant certains (environ 10%) deviennent des agresseurs chroniques. Chiffres à l'appui l'auteur montre l'utilité d'une prise en charge précoce, par des méthodes fondées sur l'apprentissage social, de l'enfant à risque et de sa famille. Ce livre très érudit qui se range plutôt du côté de Darwin et Voltaire que de Jean Jacques Rousseau, insiste sur la résilience de la violence et la fragilité du vernis social. Il pose aussi un regard amusé sur les querelles hexagonales des psys. Une lecture aisée et stimulante.
Jean Cottraux

 


 

AUTISME:

Newsletter de l'association "Léa pour Samy", et appel à contribution.

 

 


 

LA VIOLENCE CONTRE LES MEDECINS

s'intensifie mais la pathologie psychiatrique et les toxicomanies ne sont pas au premier rang des causes, et le psychiatres sont moins agressés que les opthalmologistes. De plus dans 43% des cas il s'agit d'agression verbale et les urgences n'entrent que pour 5% dans le total des incidents. Une enquête IPSOS/ conseil de l'ordre des médecins. Enquête citée par le Figaro et Laurent Frichet. Voir.

 


 

L'AVENIR DE LA PSYCHIATRIE ET LA MORT DE LA CLINIQUE

Jean COTTRAUX à participé, sur France-Culture, le 17 Avril, à une émission Science et Consciencede Philippe Petit. Le thème en était : ".
Les invités étaient Françoise Gorog, Daniel Widlocher, Charles Melman et Jean Cottraux (accéder).
A mettre en parallèle avec l'article du Monde (Roland Gori) et la réaction (Pan sur le bec) de Lionel Cailhol (voir).

 


 

MEDIAGORA

Colloque, organisé le 7 juin 2008 à Paris, par MEDIAGORA, à l'occasion de ses 10 ans. Programme et Inscription.

 


 

FAUX INCESTES ET VRAIES DERIVES

interview de Guy Rouquet, le président de Psychothérapie Vigilance", dans l'Est Républicain.
Toujours de Psychothérapie Vigilance:
* SOUVENIRS : ALTERATION ET FALSIFICATION
* DERIVES SANITAIRES, SECTAIRES ET THERAPEUTIQUES... Entretien d'Hélène Delmotte avec Jean-Michel Roulet, président de la MIVILUDES (voir)
* ANNUAIRES DE "PSYCHOTHERAPEUTES" (voir)

 


 

L'AFTCC OUVRE UN PRIX DE RECHERCHE EN TCC

aux jeunes chercheurs<u/> (en savoir +).

 


 

AUTISME TOUJOURS

Des mesures nouvelles et des outils variés. 2 articles dans LE MONDE du 04/04.
* L'arapi (association pour la recherche sur l'autisme) propose dans le catalogue de formations unapei, une formation sur l'autisme de 3 jours à destination des professionnels et des parents.

 


 

SECTES

Le rapport 2007 sur les sectes par la MIVILUDES vient de paraître (le voir).
Il dénonce le lobbying (voir France 2) et exhorte l'état à poursuivre la lutte conte les sectes (voir le Nouvel Obs).
Voir la revue de presse www.sante.net de Laurent Frichet (Le Monde, Le Parisien, Libération, La Croix).

Bernard Accoyer ajoute sur ce sujet : « Lutter contre les sectes, ce n'est pas attenter à la liberté religieuse »
Dans "La Croix", le président de l'Assemblée présente jeudi 3 avril un texte destiné à protéger les témoins. Il n'est pas favorable à une redéfinition de l'action de la mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes).

 


 

UN LIEN AVEC CANALOBS

pour une interview de Jean Cottraux par Ursula Gauthier du Nouvelobs à propos de son livre :
"LA FORCE AVEC SOI. Pour une psychologie positive" Odile Jacob, 2007.

 

 


 

L'IGAS

sonne l'alarme et propose des mesures draconiennes pour la gestion "des hôpitaux perdants".
Deux problèmes clés selon l'IGAS : des investissements excessifs dans certains CHU et une absence de regroupement des services. Un centre national de gestion des praticiens hospitalier vient d'être mis en place (info sur mediscoop et sur le site les Echos) (Lire le rapport).

 


 

DEBAT SUR L'(IN)EFFICACITE DES ANTIDEPRESSEURS

Nice, le 7 avril, dans le cadre du 16ème congrès européen de psychiatrie (voir).

 


 

UN COMMENTAIRE DANS BEHAVIOUR RESEARCH AND THERAPY

sur la politique d'expansion des soins psychologiques au Royaume Uni, selon un programme de six ans.
Il s'agit d'une conséquence des études contrôlées et d'un raisonnement économique.
Les traitements psychologiques ont un rapport coût/efficacité favorable, et sont au moins aussi efficace que les médicaments et réduisent la dépendance pharmacologique. De nombreux liens vers des sites Anglais officiels. LIRE.

 


 

Coucou le revoilou : Jacques Alain Miller tient le courrier du coeur du Président de la République

Sur-Mao ou Sur-Moâ. Sarkozysme ou Sacha Guitrysme d'état ? voir

 


 

TITRE DE PSYCHOTHERAPEUTE :

Selon la FFPP, rien n'est encore officialisé en ce qui concerne le statut de psychothérapeute en date du 12/03/08.

 


 

Rationalist International" annonce, preuves à l'appui, la chute du pouvoir Tantrique en Inde.

Qu'en est-il en France du pouvoir des Gourous-Dérapeutes ?

 


 

Ouverture de la première école ABA (Applied Behavioral Analysis)

pour enfants autistes à Paris après une convention de la mairie de Paris (voir) avec l'Association Agir et Autisme : voir le communiqué de presse.
Un reportage difficilement accessible a été présenté sur FR3 le 13 Mars 2008.

 


 

Titre de psychothérapeute : les québécois veulent, eux aussi, faire le ménage

(voir dans La Presse Canadienne et dans Le Devoir ainsi que le Projet de loi ) !

 


 

COMMUNIQUE de M BERNARD ACCOYER

Bernard Accoyer, Président de l'Assemblée Nationale, se réjouit de l'adoption définitive de sa proposition de loi relative au statut des témoins devant les commissions d'enquête parlementaires, ce mardi 4 novembre 2008.

Ce texte, adopté à l'unanimité et salué par l'ensemble des groupes politiques à l'Assemblée nationale comme au Sénat, garantira aux personnes entendues par les commissions d'enquête parlementaires, une protection analogue à celle des témoins devant les juridictions.

Grâce à l'adoption de cette proposition, elles pourront le faire sans risque de faire l'objet d'un acharnement procédurier visant à les dissuader de témoigner devant les parlementaires.

Il s'agit d'une avancée majeure, tant pour la liberté de parole devant les commissions, que pour le Parlement dont on valorise ainsi l'un des instruments essentiels de son pouvoir de contrôle. Depuis plusieurs années, l'Assemblée nationale conduit un travail considérable en matière d'information, de prévention et de lutte contre les phénomènes sectaires, sous toutes leurs formes, dont le but est avant tout de protéger les personnes en souffrance psychologique, victimes de ces dérives. Elle continuera à le faire, en liaison étroite avec les organismes publics compétents et les associations de victimes et de leurs familles.

Le dispositif adopté s'inscrit dans ce combat et permettra de progresser dans la connaissance des phénomènes sectaires afin de mieux les dénoncer, les réprimer et de mieux protéger les personnes.


 

Le décret sur le statut du psychothérapeute suit son chemin:

voir les dernières infos.
Francois-r. Dupond Muzart continue aussi à contribuer à nous informer et à nous faire profiter de ses réflexions (voir).
Ainsi qu'une réaction d'un "psychothérapeute relationnel" qui ...
... semble ne pas avoir des relations très chaleureuses avec "Psychothérapie Vigilance" (qu'il connaîtrait mal ?) ...

 


 

Le décret sur le statut du psychothérapeute suit son chemin: dernières infos.

Le texte de loi a été publié! Cliquez ici pour le télécharger


 

19 juin 2006 - RENCONTRE DE PSYCHOTHERAPIE VIGILANCE AVEC LE DOCTEUR BERNARD BASSET (D.G.S)

Voir


 

TITRE DE PSYCHOTHERAPEUTE

Le ministre de la santé, Xavier BERTRAND, a lui-même présenté son projet de de rédaction du décret tant attendu le 7 Avril aux associations.

 

C'est un texte ("confidentiel" ...) minimaliste qui enchante ceux qui voudraient continuer à s'auto-autoriser comme d'habitude, mais qui pourrait bien (presque) fédérer les thérapeutes plus "raisonnables" et responsables !!

Etait-ce l'objectif ?? Echo (très limité ...) dans Le Monde.

 

Très vive inquiétude de Psychothérapie Vigilance et de MEDIAGORA qui parle de: "La loi qui autorisera les charlatans Alors que le ministre est optimiste"

Et alors que "Libé" favorise les sectes !! Pardon: "Libé" favorise inconsciemment (!) les sectes !!

 

Après sa première réponse de février, toujours d'actualité, L'AFFORTHECC répond au ministre (Voir)

Voir aussi le COMMUNIQUE DE PRESSE DE L'AFTCC

Ainsi que les réactions d'autres associations: FFPP, SPEL, SFP

 

En Belgique, on planche sur le même sujet ... (Voir)

 

Voir l'actualité ci-dessous et dans la page dédiée.

 

Après la parution de l'article 52 de la Loi du 9 août 2004, portant sur l'usage du titre de psychothérapeute, le ministère de la santé a engagé une concertation avec les diverses associations de thérapeutes.

Cette concertation porte sur l'avant-projet de décret d'application. L'AFFORTHECC et l'AFTCC ont été sollicitées.

LES REPONSES

L'AFFORTHECC a rendu sa réponse Lire

L'AFTCC également Lire

La seconde réunion a permis à chacun de s'exprimer, en restant sur ses positions. Le ministre devra "trancher" sur les points qui divisent les professionnels, en tenant compte des usagers et donc du souci qui a motivé la loi.

Vous pouvez aussi consulter les réponses de :

- IVe Groupe OPLF

- La SPP (6/2),

- L'EPFCL (6/2),

- La SPP (7/2),

- La SPRF

- Le SNPPsy (7/2),

- Le <SPEL

- Le xxx (7/2), accompagné d'un lourd tir d'appui (de barrage ?) Avec la "galéjade bretonne" de l'année (enfin, nous espérons que cela en est une ...) :"Il est amplement démontré" que pour être psychothérapeute il faut avoir vécu "une expérience de mutation subjective issue de l'expérience d'une psychanalyse ou d'une psychothérapie" !!

Et dire que le législateur veut protéger des dérives sectaires ... Que la démarche scientifique est bien loin !!! A ce propos, revient le leitmotiv du rapport de l'Inserm retiré par le Ministère ayant reconnu sa "non-validité". Nous rappelons qu'il a été apporté des réponses précises à TOUTES les critiques formulées, et que nous attendons toujours qu'elles soient contredites.

- Le Cercle Freudien (8/2),

- L'APF (8/2),

- la SARP< (8/2),

- Psy en mouvement (10/2),

- La FF2P(10/2),

- La SFTF (10/2) (Thérapies Familiales),

- L'AFP (10/2),

- PSY'G (11/2),

- Le SNP (13/3),

- l'Espace analytique (13/2),

- l'AFFOP (13/2),

- L'Asso SPF psychothérapie,

 


 

Guy Rouquet, président de "Psychothérapie Vigilance", prend la parole dans La Croix pour défendre les usagers

 


 

Premières réactions dans la presse à cette concertation

 

La concertation est engagée :

Le ministère de la santé relance le projet de réglementation de l'usage du titre de psychothérapeute. La direction générale de la santé a réuni, mardi 10 janvier, une vingtaine d'associations représentant des psychologues, des psychiatres, des psychanalystes et des psychothérapeutes pour leur soumettre un avant-projet de décret d'application de l'article 52 de la loi du 13 août 2004. Cécile Prieur, dans Le Monde, donne une première analyse et Libé écoute les réactions des analystes.

La concertation, à laquelle participent l'AFFORTHECC et l'AFTCC, continue autour d'un projet de décret qui constitue une nouvelle avancée et rendrait nécessaire "une connaissance des quatre principales approches de psychothérapie validées scientifiquement (analytique, systémique, cognitivo-comportementaliste, intégrative)".

Et, en Suisse, on se pose la question du coût et du remboursement des psychothérapies !

Mais que fait l'OMS ?


 

Rencontre de psychothérapie vigilance avec le

 

Docteur Bernard BASSET (D.G.S.)

LES CHOSES AVANCERAIENT-ELLES ? Lire

voir les dernières infos.

Critères européens (EABCT)

Les recommandations pour l'accréditation des thérapeutes en TCC proposées par : l'Association Européenne de Thérapie Comportementale et Cognitive European. (Association of Behaviour and Cognitive Therapy : EABCT)

CRITERES EUROPEENS DE FORMATION EN TCC

Compte rendu par Martine Bouvard, Professeure de Psychologie à l'Université de Savoie à Chambéry et Docteur Jean Cottraux directeur du DU de TCC à l'université Lyon 1.

 

Au cours de l'EABCT, à Manchester en Septembre 2004, nous avons eu une réunion spéciale sur les standards et une autre sur le fonctionnement général. L'EABCT fonctionne maintenant avec un bureau, un site web et des commissions (standards, congrès pour les plus importantes). La commission dirigée par Jaak Beckers s'occupe des standards pour être reconnu thérapeute en TCC.

 Le point important pour la formation est le nombre minimum d'heures requises. Il est d'au moins 300 heures, avec 150 sur les processus psychologiques de base. Pour le suivi :10 patients dans trois domaines différents,.quatre cas écrits au moins, 75 heures de supervision en TCC, avec 25 H en « live ». les supervisions sont individuelles ou en petits groupes de quatre.

Il est aussi demandé 100 h de développement personnel, connaissance de soi en individuel ou en petit groupe (une connaissance éclairée de soi plutôt qu'une thérapie). Une partie est incluse dans la formation à la TCC et une autre est un aspect de la supervision.

Il s'agit de simples recommandations : il a été spécifié au cours de la réunion que chaque pays pouvait s'inspirer de ces critères en fonction de ses propres structures universitaires

Le DU de TCC de Lyon 1 sera remplacé par un DIU de TCC qui associera l'université Lyon 1 et de l'université de Savoie à Chambéry. Il est sera mis en place en Septembre 2005 et appliquera, dès lors, ces critères.

 

EABCT accreditation standards

 

Proposal from the EABCT working group on training standards, July 2004 voted on at the AGM:  September 10, 2004 in Manchester

 

 

1:Entry requirements:

 

Between European countries there are differences in what professionals are allowed to practice psychotherapy. That is also the case for CB therapy, and in different EABCT member associations, even where there are no official government regulations. EABCT recognises the regulations governing each country, but wants to define what we think are the competences of a fully trained cognitive behavioural psychotherapist.

Minimum entry requirements will be:

-All accredited therapists will have an approved basic qualification in an appropriate core profession and be registered with a professional regulatory body.

-They will have sufficient experience in working in a therapeutic role with clients, as defined further in this text.

-They will be using cognitive and/or behaviour therapy in a systematic way as their main, or one of their main therapeutic models.

 

 

2:What do we expect CB Psychotherapists will be able to do?

 

To carry out a broad range of CBT assessment, formulation and interventions independently and in a competent way. To combine techniques, develop new strategies, be creative in designing new protocols or individually tailored interventions. To apply these interventions in therapy, prevention and psycho education, for problems of mental health, education, health in general etc. To provide these interventions for the benefit of all segments of society (children, adults, elderly people, people with handicaps etc.) in the best available format (e.g. individuals, small or large groups). To guide and support other professionals in the application of CB principles.

 

This means that CB-Psychotherapists need:

 

a. to be guided by a thorough knowledge and understanding of the basic scientific research and theories in psychology that feed, underlie and challenge the theories and practice of CBT, e.g. learning theories, social psychology, cognitive psychology, theories of memory, theories of motivation.

 

b. to have and consider knowledge of normal as well as abnormal development across the life span and across different social contexts, including diversity: e.g. sociology, developmental psychology, differential psychology, psychophysiology, behavioural neuroscience, psychopathology of childhood and adulthood.

 

c. to have and consider a working knowledge of the area in which the therapist practices, e.g. psycho diagnosis, psychiatry, disability, drugs.

 

d. to be aware of other therapeutic approaches within the therapists area of practice and in related scientific domains, e.g. rehabilitation, physiotherapy, medication

 

e. to be guided by a sound knowledge of the evidence-based techniques of CBT, their theoretical and scientific basis and their more recent developments. To choose the best available interventions in terms of safety, effectiveness, efficiency and respect for their clients and to abandon less safe, effective, efficient or respecting interventions.

 

f.  to evaluate a client's progress as a result of the interventions carried out by self and others and to use this evaluation to shape their future practice.

 

g. to have a high level of understanding of the research basis of CBT practice,   "high level" meaning: a critical understanding of methodology and results within the wider context of other research.

 

h. to be aware of and consider ethical and legal issues in therapy, research and training.

 

i. to have an understanding of their own learning needs and the impact that these have in therapy by developing self-awareness and ability to change.

 

j. to demonstrate a high level of ability to build, maintain and conclude a therapeutic working relationship, to analyse and understand a clients problems according to CB theory and research, to design an appropriate therapeutic strategy to deal with it and to put this strategy into practice competently.

 

3:Where and when do CB-psychotherapists develop these competences?

 

3.1 Some, especially more theoretical, knowledge and general therapeutic skills should be acquired during the core academic training.

 

3.2 Some of the applied knowledge and of the specific CB therapeutic skills will have to be acquired during a specialised CBT training, e.g. organized by a CBT Association, an Institute, or a University:

 

3.2.1 The specialised CBT training should be provided directly by recognised behaviour and/or cognitive therapy trainers on a recognised course or an agreed programme of study.

 

3.2.2 The minimum period of training will not be less than 5 years. This time is measured from the commencement of academic (master level) and professional training to the end of a period of post professional training in cognitive and/or behavioural skills.

 

3.2.3 Specialist training in a particular model of cognitive and/or behaviour therapy, or in a specialist area of its application may focus on a specific area of interest (e.g.. REBT, CBT with psychosis, CBT with Children,). However, all therapists will have covered a curriculum that will provide a broad-based understanding of the theoretical basis of cognitive and/or behaviour therapies and their application across a range of problems.

 

 

 

3.2.4 Skills training is an essential component of the acquisition of knowledge and experience and will predominantly be developed through supervised clinical practice, skills-based workshops, observation and clinical practice. Skills training should be a significant part of a therapist's total training programme.

 

3.2.5 Supervisors will be accredited CB therapists with a minimum of 5 years of practice and accepted as such by the EABCT member association.

 

3.2.6 A record of the training will be kept and this should specify the length of training, the number of taught hours and a record of the lecturers, trainers, and supervisors participating.

 

3.3 With regard to the above (2, a. to j.) mentioned competences this means:

 

a. To be guided by a thorough knowledge and understanding of the basic scientific research and theories in psychology that feed, underlie and challenge the theories and practice of CBT, e.g. learning theories, social psychology, cognitive psychology, theories of memory, theories of motivation.

 

                       Will be acquired during:

-     Core academic training (bachelor and master level: 1st and 2nd cycle)

 

b. To have and consider knowledge of normal as well as abnormal development across the life span and across different social contexts, including diversity:

 

Will be acquired during:

- core academic training

 

 c. To have and consider a working knowledge of the area in which the therapist practices:

 

 Will be acquired during:

- core academic training

 

 d. To be aware of other therapeutic approaches within the therapists area of practice and in related scientific domains:

 

 Will be acquired during:

- core academic training

 

 e. To be guided by a sound knowledge of the evidence-based techniques of CBT, their theoretical and scientific basis and their more recent developments. To choose the best available interventions in terms of safety, effectiveness, efficiency and respect for their clients and to abandon less safe, effective, efficient or respecting interventions.

 

 Will be acquired during:

- core academic training

- specialised CBT training

- seminars and workshops, certified by the local CBT association

 The number of theoretical hours and skills training provided in the specific CBT training on these subjects should be at least 300, 150 of which on basic psychological processes. Supervision is not included in this number. (souligné par moi)

 

 f. To evaluate a client's progress as a result of interventions carried out by self and others and to use this evaluation to shape their future practice.

 

                               Will be acquired during:

- core academic training and

- specialised CBT training

 

 g. To have a high level of understanding of the research basis of CBT practice,  "high level" meaning: a critical understanding of methodology and results within the wider context of other research.

 

 Will be acquired during:

- core academic training and/or

- specialised CBT training if necessary: this competence should be assessed as an entry requirement; if the candidate has not proven to be proficient in research skills, the CBT training centre can either allow him to do CBT training and provide the necessary research skills, or not allow him to do CBT training until he has proven to be proficient in research skills, if the CBT centre is not interested in providing such skills.

 

 h. To be aware of and consider ethical and legal issues in therapy, research and training:

 

 Will be acquired during:

- core academic training or

- specialised CBT training. If this competence has not been included in the core academic training, the CBT training centre should provide this competence, in subjects/ workshops and supervision

 

 i. To have an understanding of their own learning needs and the impact that these have in therapy by developing self-awareness and ability to change:

 

 Will be acquired during:

 

 -    core academic training and

 -   specialised CBT training.

     100 h. of personal development/self-awareness should be provided in individual or small group settings. Personal development is not to be understood as personal therapy but as "awareness": learning about themselves, especially as therapists. Part, but not all, of it can be included in pre-CBT training; part of it can also be incorporated as an aspect of supervision.

 

 j. To demonstrate a high level of ability to build, maintain and conclude a therapeutic working relationship, to analyse and understand a clients problem according to CB theory and research, to design an appropriate therapeutic strategy to deal with it and to put this strategy into practice competently.

 

 Will be acquired during:

 

- academic training at master level (called differently in different countries: 2nd cycle of academic training),

- specialised CBT training and

- supervision

       Combined these should contain at least:

o 300 h. of supervised assessment and therapy, with a minimum of 10 clients in, at least, three different problem-areas

o 75 h. of supervision in CBT, in the course of the specialised, post-academic CBT-training, while they work as professional CB therapists. Supervision is given, as mentioned before, by a recognised CBT supervisor. At least 25 hours should be in close supervision, meaning: based on "live" material (audio- or videotapes, one-way screenŠ). Supervision is done individually or in small groups of not more than 4 people.

o Supervised practice will be assessed with at least four case studies written upo Furthermore, an understanding of evidence-based practice should be evaluated by the production of an extended case study that critically discusses the research evidence, a relevant research dissertation, a research paper written as first author or an equivalent proof of competence.July '04, Jaak Beckers, Training coordinator of EABCT

 

accr_ditation.TCC_Bouvard_Cottraux.pdf

 

Bienvenue !

Bienvenue sur le site de l'AFFORTHECC

Association Francophone de FOrmation et de Recherche en THérapie Comportementale et Cognitive

 

Adhérer à l'Afforthecc en ligne via Helloasso 

Adhérer à l'Afforthecc par courrier

Lettre du CA 2024

LES TCC

Les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC) appliquent la démarche scientifique et les données de la psychologie expérimentale à la solution de problèmes cliniques, autrement dit aux soins visant à soulager la souffrance liée à des problèmes psychologiques et/ou à leurs retentissements. Cette démarche de soins s'inscrit dans une approche humaine globale visant à la santé.